Le DVD du MDNA Tour : un regard exclusif sur le documentaire Behind-the-Scenes
6 mai 2013 News

Le DVD du MDNA Tour : un regard exclusif sur le documentaire Behind-the-Scenes

Alors que nous sommes tous en attente de la sortie du DVD pour le MDNA Tour, nous pouvons, à Madonnarama, vous révéler quelques détails intéressants concernant le documentaire qui contient les répétitions du show entre Madonna, les danseurs et Kalakan.

Vous voulez savoir quels titres ont été répétés puis zappés? A quoi « Falling Free » devait ressembler? Y’a-t-il eu de gros changements sur « Candy Shop »? Intéressés par Madonna faisant du slackline en sneakers compensés chantant « I’m Addicted »?
Tout ceci et plus encore dans ce qui suit…

Il s’agit d’une vidéo de 18 minutes en noir et blanc nous donnant accès à un regard en coulisse des répétitions de la tournée qui devrait en toute logique, figurer dans les sorties DVD/Blu Ray de la tournée.

Madonna a invité quelques 20 danseurs ainsi que le trio Kalakan sur un MDNA Tour workshop afin de se faire une idée.
La vidéo débute sur les répétitions des danseurs avec sous la direction des chorégraphes Alison Faulk et Jason Young qui se font interviewer. Les danseurs apprennent leurs chorégraphies, en élaborent certaines, démontrent leurs talents pendant que Madonna les observe.

Un des titres sur lequel une chorégraphie sur chaises assez incroyable était prévue est « Abdication » de la bande originale du film W.E. par Abel Korzeniowski.

Par la suite, on peut également y voir les incroyables chorégraphes Matt Cady et Megan Lawson, du groupe Fanny Pak, enseignant une chorégraphie complexe aux danseurs.
Pour le MDNA Tour, Madonna retiendra finalement leur travail sur « Gang Bang » et « Human Nature »!

Derrell « Keesha » Bullock explique également à quel point Madonna voulait voir « un morceau dans lequel les hommes portent des talons aiguilles tout en dansant avec énergie ». Madonna leur a donné « Girl Gone Wild » et comme il le dit lui même, « ils se sont lâchés ».
Arborant des boots à talons aiguilles, il fait une démonstration de la chorégraphie avec les danseurs Kupono, Chaz and Matt Cady.
Madonna s’amuse beaucoup en regardant et les appellent des « Gold Stars ».

Alors que Bedtime Story joue en fond sonore sur vidéo, Bones The Machine et son équipe mettent en scène le tableau qu’ils ont élaboré, qui finira par devenir l’interlude « Best Friend » du MDNA Tour.

L’idée du gang de clowns agressifs a été choreographiée par Marvin et Marion, puis mis en scène pour l’interlude « Justify my Love ».

Après que Brahim Zaibat, Adrien Galo, Lilou et leur Pockemon crew révèlent leurs talents en breakdance et en acrobaties, Madonna dit en plaisantant et en français « C’est tout ? »

Andy Lewis qui avait fait du slackline pour Madonna durant sa performance au Super Bowl s’est rendu aux répétitions afin d’enseigner cette discipline au Pockemon crew et aux breakdancers.
Madonna inspecte tous les détails et fait ses recommandations.

Ensuite, Madonna tente le slackline sneakers à talons en chantant « I’m Addicted ».

Par la suite, on assiste à la répétition d’un des titres qui a été zappé du MDNA Tour, à savoir Falling Free et l’on peut enfin voir ce à quoi cela devait ressembler.
Le violoniste classique sud-coréen, Hahn-Bin qui a collaboré avec Madonna sur son album, joue une mélodie vibrante alors que le danseur Chaz Buzan fait sa performance solo.
La combinaison est tellement parfaite qu’elle nous aurait donné des frissons.

Le segment suivant est dédié à Kalakan.
Ils interprètent « Open Your Heart » et « Sagarra Jo », alors que les danseurs apprennent la chorégraphie.
Ils sont tous réunis en demi cercle, dansent et s’amusent.
Les scènes backstage nous offrent un regard sur une session acoustique entre Madonna et Kalakan chantant une version réinventée de Candy Shop.

En fin de documentaire, Madonna se relaxe sur les slacklines, en chantant Don’t Tell me à la guitare.

Durant la dernière scène, les danseurs font des démonstrations de leurs talents, à travers une session freestyle improvisée.

Comme Madonna le dit durant le documentaire… « Please don’t tell me to stop, motherfuckers! »