Le MDNA Tour à Québec [1 septembre 2012 – Photos & Vidéos]
2 septembre 2012 Pictures, Video

Le MDNA Tour à Québec [1 septembre 2012 – Photos & Vidéos]

Vous avez pris des photos, des vidéos ou vous voudriez juste partager votre expérience au MDNA Tour, n’hésitez pas à nous envoyer un email à [email protected]

VIDEOS DES FANS














PHOTOS PRISES PAR LES FANS

Plus de photos…

PHOTOS PRISES PAR L’EQUIPE

Plus de photos…

Plus de photos…

REVUES DE PRESSE

La reine de la pop est débarquée pour la première fois à Québec, samedi soir, devant une immense foule massée sur le site des plaines d’Abraham.

C’est sur le coup de 22 h 20 que Madonna a mis fin à la longue attente des quelque 72 000 admirateurs, dont bon nombre s’étaient rendus sur le site tôt dans la journée. Le spectacle conçu en tableaux et très théâtral s’est amorcé dans une ambiance solennelle campée dans un imposant décor de cathédrale projeté sur l’écran en arrière-plan, un grand encensoir balançant au-dessus de la scène. D’un coup de fusil, la diva a fait voler en éclat les vitraux virtuels. Le concert était lancé.

Pendant presque deux heures, la Madone a enfilé ses 22 chansons, dont la grande majorité tirée de son dernier album MDNA.

Après un début tout en violence grâce à l’abondance de fusils et effusions de sang sur grand écran dans Gang Bang et Revolver, le ciel s’est éclairci peu à peu et Madonna a troqué son costume sombre contre celui de majorette, le temps que le public se réchauffe à Express Yourself.

De Girls Gone Wild à Celebration en passant par Vogue, Give Me All Your Luvin’, Like a Prayer, I’m Addicted, toutes les pièces se sont succédé dans un enrobage multimédia et chorégraphique époustouflant et impeccable. Madonna a offert avec une énergie remarquable un spectacle léché, laissant peu de place à l’improvisation.

Au cours de la soirée, la chanteuse a pris le temps de dédier la chanson Masterpiece à sa mère, de présenter son fils Rocco sur scène et d’interpréter Like a Virgin, totalement revampée, en version lente acoustique avec piano.

Si la chanteuse a, à un moment, fait allusion à ses racines québécoises et à l’héroïne française Jeanne d’Arc, tout en agitant le fleurdelisé, elle ne s’est toutefois pas franchement exprimée dans la langue de Molière. Les spectateurs ont pu entendre un décompte en français dans Express Yourself et un vigoureux « Fuck oui! » alors que la chanteuse invitait ses admirateurs à bannir la discrimination, la haine, l’intolérance.

Les effets scéniques, éléments de cirque, acrobaties, danses et chorégraphies aux mouvements disloqués se sont succédé toute la soirée, tandis que la foule a crié son amour et son admiration à la chanteuse portant l’inscription No Fear sur le dos nu.

Malgré le spectacle bien rythmé, le site des Plaines ne s’est pas transformé en immense piste de danse tel que le promettaient les organisateurs du concert à Québec. Plusieurs spectateurs rencontrés après la prestation se sont montrés déçus, voire mécontents de la sélection de pièces qui faisait une large place aux chansons moins connues du 12e album MDNA.
Madonna donnait à Québec le seul spectacle en plein air au Canada et devant la plus importante foule de sa tournée MDNA. La Madone s’arrêtera prochainement dans trois autres villes au Canada, soit à Ottawa (10 septembre), à Toronto (12 et 13 septembre) et à Vancouver (29 et 30 septembre). La reine de la pop a entrepris la tournée de promotion de son album MDNA à la fin mai, à Tel-Aviv. Elle terminera sa tournée en Argentine le 22 décembre.

Madonna donnait à Québec le seul spectacle en plein air au Canada et devant la plus importante foule de sa tournée MDNA. La Madone s’arrêtera prochainement dans trois autres villes au Canada, soit à Ottawa (10 septembre), à Toronto (12 et 13 septembre) et à Vancouver (29 et 30 septembre). La reine de la pop a entrepris la tournée de promotion de son album MDNA à la fin mai, à Tel-Aviv. Elle terminera sa tournée en Argentine le 22 décembre.

On en parle depuis février, mais samedi, c’était vrai: Madonna trônait sur les plaines d’Abraham. La star est arrivée avec un show aussi spectaculaire et soigné que ce que la rumeur disait, en en mettant plein la vue aux quelque 72 000 spectateurs qui s’étaient déplacés.

En début de soirée, alors que les fans faisaient leur entrée sur les Plaines, Madonna s’affairait à achever son test de son. Quand elle l’a terminé, avec Love Spent, elle a lancé: «On se revoit dans six heures!» Il était 18h… Puis, elle a ajouté: «Je blague!»

N’empêche, elle n’est pas montée sur les planches vers 21h ou 21h15, la Madone. C’est plutôt passé 22h15 qu’elle a décidé de démarrer son imposante machine. Car c’en est toute une. Lorsque les projecteurs se sont éteints, un décor de cathédrale s’est matérialisé sur les écrans géants – gracieuseté de l’équipe montréalaise de Moment Factory -, tandis que des disciples secouaient un immense encensoir suspendu au plafond. La vedette est apparue en ombre chinoise, dans un isoloir avec un AK-47, en priant.

De l’ombre à la lumière

Celle qui est née Louise Ciccone l’a déjà dit elle-même: le spectacle MDNA se veut un voyage de l’ombre à la lumière. Aussi l’amorce du concert était-elle sombre et violente. Dans Gang Bang, où elle évoluait dans un hôtel miteux, Madonna se battait contre des hommes, qu’elle tirait à bout portant. Chaque fois, le sang giclait sur les écrans…

Si les chorégraphies étaient brillantes, si les tableaux qui défilaient étaient ingénieux et tenaient parfois du cirque, on n’était vraiment pas sur une piste de danse. Le public, attentif, a d’ailleurs paru secoué…

En revanche, quand la «Material Girl» a troqué son costume moulant noir pour un ensemble de majorette, on est entré dans un tableau nettement plus dynamique et léger. Le même souci créatif était cependant présent dans l’enrobage: sur Give Me All Your Luvin’, des joueurs de tambour apparaissaient suspendus dans les airs, rien de moins!

Au milieu de cet impressionnant déploiement, l’artiste de 54 ans brillait. On le sait, elle ne chante pas sur toutes les pièces, le playback étant en renfort à plusieurs endroits, mais elle se donne de manière redoutable, dansant, courant, jouant de la six-cordes, cumulant les costumes ainsi que les coiffures, et campant ses personnages avec aplomb.

Dose de spontanéité

Bien que la machine ronronne parfaitement, il y a de la place pour la spontanéité, à preuve la version de Open Your Heart, livrée en compagnie du trio Kalakan, où on sentait bien son souffle au micro et où son fils est venu danser. C’est d’ailleurs au terme de cette pièce qu’elle s’est adressée au public, précisant que la pièce que le trio Kalakan avait ensuite jouée, Sagarra jo!, était contre l’intolérance. Elle a invité la foule à hurler «fuck yeah!», puis un «fuck oui!», pour approuver. Un spectateur lui a remis un petit drapeau du Québec, après quoi elle s’est lancée dans Masterpiece, qu’elle a dédiée à sa mère, «qui est née dans cette partie du monde et sans laquelle je ne serais pas ici».

La présente tournée a fait bien sûr la part belle au matériel de MDNA, mais les vieux hits avaient tout de même droit de cité, quoique passablement remodelés. Ceci aura peut-être déçu les nostalgiques, qui espéraient se déhancher en se remémorant des souvenirs. Vogue, pour laquelle elle avait sorti une nouvelle version de son bustier Jean Paul Gaultier, Human Nature, qu’elle a achevée en se dévêtant, laissant voir un tatouage «No Fear», ou Like Virgin ont ainsi surpris par leur audace. Cette dernière, en particulier, devenue une valse piano-voix défendue avec son claviériste montréalais, Ric’key Pageot, prenait soudainement une autre signification.

Ce concert, haut en couleur, franchement bien ficelé avec le metteur en scène originaire de Québec Michel Laprise, s’est terminé sur une Like a Prayer lumineuse, reprenant le thème omniprésent de la religion, puis sur Celebration fort dansante, où la star a repris en main son drapeau québécois. Une indéniable réussite, qui plus qu’être simplement festive, était d’une grande valeur artistique.

Oakenfold en intro

Le D.J. Paul Oakenfold s’est chargé de lancer la soirée. Pionnier de l’électro, qui a déjà collaboré avec Madonna, on ne peut dire qu’il a impressionné. Sa performance a en effet mis un certain temps à décoller et, surtout, elle était truffée de clichés et de longueurs. Cela dit, il s’est efforcé de ratisser large, proposant des remix de Sweet Dreams, des Eurythmics, Somebody I Used to Know, de Gotye ou encore de Satisfaction, des Rolling Stones. Il a terminé avec son remodelage de We Are Young, de Fun. Rien de bien transcendant donc, quoiqu’il y ait eu certains passages qui ont semblé plaire à la foule.

QUÉBEC – Madonna a transformé les Plaines d’Abraham en un gigantesque théâtre musical mais pas en plancher de danse samedi soir à Québec lors d’un concert en plein air rassemblant près de 72 000 fans.

La pop star est entrée sur scène vers 22h15 lors d’une ouverture en 3D impressionnante réalisée par les Québécois de Moment Factory. On y entend et voit une prière mystique au son d’une immense cloche et avec des prêtres en toge. Elle est apparue dans un confessionnal vêtue d’un voile et un fusil, enchaînant avec énergie Girl Gone Wild, tiré du dernier album MDNA. La mégaproduction a de quoi impressionner : projections, deux écrans géants, des danseurs à presque tous les tableaux. Madonna bouge et change de costume sans cesse sur scène. Dans Revolver et Gang Bang, il y a un décor de motel où Madonna boit du Jack Daniels, a un fusil en main et tue divers malfrats qui tentent de l’agresser. Le sang gicle sur l’écran. C’est violent et provocateur.

Dans Papa Don’t Preach, Madonna se fait menottée et rampe sur le plancher de la scène, qui est très en hauteur. Visiblement en forme, Madonna danse et se démène sans cesse. Elle joue de la guitare mais n’est cependant pas toujours en voix. La Madone a ensuite entoné I Don’t Give A, Best Friend, Heartbeat (Interlude), Express Yourself et Born This Way. Des images d’archives de Madonna ont été présentées et Madonna en chanté Turn Up The Radio, encourageant la foule à l’accompagner. «Je ne vous entends pas, Québec», a-t-elle dit, tapant des mains.

Le spectacle était très visuel et a fait oublier quelque fois la musique. Il fallait ainsi se concentrer sur les écrans géants pour suivre l’action sur scène. C’est peut-être ce qui explique que la foule était peu animée samedi soir, sans compter que son dernier album MDNA s’est peu vendu est est moins connu.

La foule semble avoir apprécié les classiques comme Open Your Heart, Erotica et Vogue (avec le fameux corset de Jean-Paul Gaultier), en communion avec la chanteuse. Comme à Montréal jeudi, son fils Rocco est monté sur scène. Madonna a également dédié une de ses chansons à sa mère, rappelant ses origines canadiennes-françaises. A ce propos, elle a tenu un drapeau fleur de lys du Québec dans ses mains pendant un moment, au grand plaisir de la foule.

«Merci le Canada français. Merci Québec!», avait-elle lancé avant.

La Madone, qui a changé de costumes à de multiples reprises, a profité du concert pour encourager le public à «détruire l’intolérance» et a été loquace tout au long du spectacle, s’adressant même à une femme du public.

Elle a chanté Like A Virgin en version acapella et n’est pas apparu sur scène lors de Justify My Love.

Le show a été marqué par le talent de ses danseurs et danseuses de même que par ses choristes. Madonna a eu beaucoup de complicité avec ses danseurs.

On pu voir la pop star en soutien gorge et fort peu vêtue également.

Le concert, très fort en percussions et beats électroniques, s’est conclu sur Like A Prayer et Celebration. L’ambiance était à son meilleur.

Le public de Québec en aurait pris plus. Mais ce sera peut-être partie remise.

La vedette tant attendue s’est présentée sur l’immense scène de 58 mètres de largeur peu avant 22h30. Vêtue de noir et agenouillée sur un prie-Dieu, elle a brandi une arme, la première d’une série. C’est avec Girl Gone Wild, tirée de son plus récent album MDNA, qu’elle a lancé son spectacle très théâtral jumelant danses et acrobaties.

«C’est à voir une fois dans sa vie. Madonna est à son meilleur et autant le visuel que l’audio», a lancé Isabelle Robin dans la foule. La jeune de femme de Montmagny s’est dite épatée de la forme physique de la chanteuse. Madonna a entonné Gang bang dans un décor de chambre d’un Paradise Motel. Simulations de bagarres, coups de feu et déhanchements avec des bottillons à talons aiguilles, rien n’a semblé être à l’épreuve de la chanteuse même pas des voyous. La scène ainsi que la passerelle en forme de V ont été exploitées autant par la Madone que les nombreux danseurs. Des équilibristes et des contorsionnistes se sont alternés autour de la reine de la pop.

Les premiers mots qu’elle a adressés en français sont «un, deux, trois, quatre» à Express yourself. Habillée en majorette, des hommes jouant du tambour sont apparus maintenus par des câbles au plafond pendant Give Me All Your Luvin’. Des drapeaux du Québec étaient visibles à proximité de la scène et Madonna en a pris un dans ses mains pour le donner à un de ses danseurs. Elle a dédié la pièce Masterpiece à sa mère après avoir expliqué qu’elle rêve que les préjugés, la discrimination et l’intolérance soient éliminés. Malgré la présence de 72 000 personnes sur les plaines d’Abraham, le public a semblé majoritairement calme.

Quant aux chansons que les admirateurs de la Madone souhaitaient entendre, Like a prayer a été maintes fois évoquée parmi les personnes interrogées. «Like a prayer! C’est ma chanson», a lancé Joanie Laberge de Lévis. Cette pièce et Celebration ont clôturé la soirée. Ses hits étaient attendus et certains succès ont été absents du programme ou écourtés. «J’ai trouvé qu’il y avait trop de son dernier album», a fait valoir une spectatrice venue de Bedford, Élise Tougas.

Paul Oakenfold a réchauffé la foule

L’invité spécial Paul Oakenfold a mixé des succès à partir de 20h30 devant une foule détendue. L’entrée sur scène de Madonna s’est déroulée vers 10h30. L’attente a déplu à certains détenteurs de billets trouvant le temps long. «Personnellement, de faire attendre le public, j’ai trouvé ça ordinaire», a commenté Nicole Bilodeau à la sortie.

Zones d’attente: une nouvelle formule appréciée

Les détenteurs de billets pour Madonna ont afflué par centaine tout au long de la journée. Dans les zones d’attente, de l’animation assurée par Rouge Fm et NRJ a diverti la foule prête pour le grand soir. Les secteurs aménagés pour l’attente semblent avoir été appréciés. «Ça devrait être comme ça au Festival d’été», soutient Chantal Mayrand de L’Ancienne-Lorette. Quelques personnes interrogées font valoir qu’ils se sentent plus détendus grâce à cette nouvelle section.

Mario Guillot de Loretteville y est avec sa fille Angelika. «Je suis allé voir Roger Waters. Ça va être dur à déloger ça, évalue-t-il. Je crois que ma fille va aimer ça.» La jeune Angelika est d’ailleurs tout sourire précisant qu’elle aime beaucoup la «musique» de Madonna. Accompagné de la Beauportoise, Marie-Ève Dery, le trio a trimballé un petit lunch afin de se remplir la panse quelques heures avant d’entendre les premières notes. Un geste imité par de nombreux amateurs de la Madone. C’est avec une bouteille d’eau à la main que les gens se sont rendus sur les plaines. «On est très fier de notre maire Régis Labeaume. Un gros merci», a lancé la Limouloise Ginette Gauthier questionnée sur la décision d’autoriser une bouteille d’eau par personne.

(Cogeco Nouvelles) – C’est à guichets fermés que l’icône pop Madonna a présenté son spectacle sur les Plaines d’Abraham, samedi soir.

L’organisation a confirmé à 18h10, samedi, que le dernier billet était vendu. C’est dire que 72 000 personnes seront rassemblées sur le lieu historique de la Vieille Capitale pour assister au spectacle haut en couleurs qui a fait un arrêt au Centre Bell, à Montréal, jeudi soir.

Les lieux ont été rendus accessibles aux détenteurs de billets à 17h30 et une demi-heure plus tard, les milliers de fans déjà sur place ont bénéficié d’une première présence de l’artiste, à l’occasion des tests de son. Madonna s’est alors adressée à la foule, disant qu’elle serait de retour dans six heures… puis prenant le soin d’ajouter que c’était une blague.

Certains médias ont fait grand état du retard de… quinze minutes qu’a fait subir Madonna au public montréalais, jeudi. Elle devait se présenter sur scène à 22 heures, mais n’y est apparue qu’à 22h15.

Une attente mieux gérée

Par ailleurs, la phase d’attente pour accéder aux Plaines d’Abraham en vue de ce spectacle s’est déroulée dans le calme et sans incident, samedi.

Forte de l’expérience passée, la firme de sécurité Sirois, mandatée à cet effet, avait établi, dès 10 heures le matin, des zones d’attente rattachées à chacune des trois sections de billets.

Cette stratégie a permis, dans un premier temps, d’éliminer les bouchons qui se créaient dans les rues avoisinantes. La reporter de Cogeco Nouvelles, Catherine Richer, a aussi noté une nette baisse d’animosité, par rapport à des événements précédents, les fans étant accommodés par de l’animation et des kiosques offrant nourriture et rafraîchissements.

Selon cette habituée des spectacles sur les Plaines, il s’agit du plus important dispositif de sécurité déployé à ce jour pour un tel happening. Le tout n’a pas été sans heurt, la circulation dans les rues de Québec étant excessivement lourde en ce long week-end de la fête du Travail, marqué aussi d’une foire commerciale qui a eu pour effet de fermer la rue Saint-Jean à la circulation automobile.

Somme toute, l’expérience aidant, l’animosité aura été chassée par l’animation et la planification.

Merci à tous ceux qui ont partagé leurs médias et leurs expériences !